Calendrier de l'avent, 12 décembre

Publié le par Caro W

Le mépris des hommes. Esaïe 53.3-8 ; 50.6

807_39_1170---Christian-Stone-Cross_web.jpg Il était méprisé, abandonné des hommes, un homme de douleur habitué à la souffrance. Oui, il était semblable à ceux devant lesquels on détourne les yeux. Il était méprisé, et nous n’avons fait aucun cas de sa valeur.

Pourtant, en vérité, c’est de nos maladies qu’il s’est chargé, et ce sont nos souffrances qu’il a prises sur lui, alors que nous pensions que Dieu l’avait puni, frappé, humilié. Mais c’est pour nos péchés qu’il a été percé, c'est pour nos fautes qu’il a été brisé.

Le châtiment qui nous donne la paix est retombé sur lui et c’est pas ses blessures que nous sommes guéris. Nous étions tous errants, pareils à des brebis, chacun de nous allait par son propre chemin : l’Eternel a fait retomber sur lui les fautes de nous tous.

On l’a frappé, et il s’est humilié, il n’a pas dit un mot. Semblable à un agneau mené à l’abattoir, tout comme la brebis muette devant ceux qui la tondent,  il n’a pas dit un mot. Il a été arraché à la vie par la contrainte, suite à un jugement. Et qui, parmi les gens de sa génération, s’est soucié de son sort, lorsqu’on l’a retranché du pays des vivants ?

Il a été frappé à mortà cause des péchés que mon peuple a commis. Esaïe 53.3-8 (Bible du Semeur).

J’ai présenté mon dos à ceux qui me frappaient et j’ai tendu mes joues à ceux qui m’arrachaient la barbe. Je n’ai pas caché mon visage à ceux qui m’insultaient et qui crachaient sur moi. Esaïe 50.6 (Bible du Semeur)        

Publié dans PENSEE DE LA SEMAINE

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